Un
nouveau rapport du portail immobilier Mubawab en collaboration avec l’agence
8th Avenue souligne que les contraintes majeurs qui se posent lors de
l’acquisition d’un bien immobilier au Maroc sont liées directement aux principaux
acteurs du secteur, les promoteurs, les agences, les sociétés de BTP mais
également aux particuliers, selon le rapport le secteur doit mettre fin à
certaines pratiques sur plusieurs niveaux :
1)-
Les Particuliers
*
Les futurs acquéreurs doivent être prudents par rapport aux faux agents qui ne possèdent
aucune licence (Samsar de café, épicier, gardien, concierge…)
* Certains agents immobilier manquent de professionnalisme et ne communiquent pas toutes les informations relatives aux logements
* Certains agents immobilier manquent de professionnalisme et ne communiquent pas toutes les informations relatives aux logements
*
Plusieurs frais additionnels peuvent s’ajouter aux frais d’achat
*
Les informations concernant les procédures administratives, bancaires et
juridiques ne sont pas toujours disponibles au moment des transactions
*
Beaucoup de paiements ne sont pas déclarés et ne peuvent par conséquent être
financés par les banques
2)-
Les agences immobilières
*
Manque d’une réglementation qui régularise l’accès à la profession d’agent
immobilier
*
La plupart des acquéreurs et propriétaires préfèrent éviter les commissions des
agences immobilières et traiter directement particulier à particulier.
*
La constitution des dossiers (Cadastre, conservation foncière…) n’est assez
compliquée à cause de l’indisponibilité des informations administratives
* L’agent immobilier doit respecter ses
engagements envers le propriétaire et le client tout en subissant une grande
concurrence informelle (Concierge, banquier, notaire, gardien…)
* La machine juridique est assez lente en cas
de plainte pour recouvrir les créances
3)-
Les promoteurs immobiliers
* Lenteur des procédures administratives pour l’obtention des permis et autorisations
* Lenteur des procédures administratives pour l’obtention des permis et autorisations
*
Manque de liquidité bancaire à cause de la crise